« Moi, Julien » Saison 3 Episode 2 : Quand Marion Me Murmure « Je Suis Ta Salope »
Après le restaurant il me tardait de voir Marion et Simon mais la semaine suivante nous avions été tous les trois très occupés par nos boulots ou par notre vie de famille. A peine quelques sms échangés avec Marion qui mavait avoué à demi-mot le lendemain soir quelle sétait masturbée toute seule dans son lit en pensant à mon histoire et quelle avait très envie de moi. Jétais sûr que même par écran interposé, elle avait dû rougir de honte en me lécrivant. Son invitation à diner chez elle le samedi soir suivant avait clos nos échanges.
Le samedi suivant je lai rejointe comme convenu vers 20H. Elle habitait un 3 pièces à Montrouge. Cétait un appartement typique des constructions des années 90. Dans les quelques 70 m2 se répartissaient un séjour avec une baie vitrée donnant sur un petit balcon, une cuisine attenante en forme de couloir, deux chambres, une salle de bain avec baignoire, et des toilettes séparées, le tout distribué par une entrée qui se prolongeait en couloir vers la partie nuit. Ses deux s se partageaient la chambre du fond, la sienne était la plus proche de lentrée.
Elle nous avait préparés un diner de saison. Des paupiettes de veau accompagnées de pommes de terre. La table était mise. Elle avait sorti la belle vaisselle posée sur une jolie nappe, des verres à vin et une bouteille de Bourgogne. Une ambiance tamisée par quelques bougies allumées par ci et par là. Bref Elle avait mis les petits plats dans les grands. Elle sétait apprêtée comme si elle sortait : une jupe serrée gris foncé au-dessus des genoux, des collants ou des bas je ne savais pas, un chemisier blanc au travers duquel on devinait un soutien-gorge noir en dentelle. Elle était joliment maquillée. Moi de mon côté javais un peu honte. Jétais venu en basic dun week-end normal dhiver : un jean bleu, un pull à col roulé blanc et des baskets blanches.
Pendant le diner elle parlait pour deux et je buvais ses paroles comme je buvais son Bourgogne quelle avait acheté au Nicolas den bas.
Marion a été honnête avec moi, ce nétait pas ment facile daccepter que notre relation ne soit pas exclusive. Ou en tout cas cétait nouveau pour elle et bien évidemment un temps dadaptation était nécessaire. Je la remerciais mille fois de sa compréhension et de sa confiance. On sétait pris la main pendant quon séchangeait ces quelques mots tendres.
Le diner touchait à sa fin. Quest-ce quil faisait chaud chez elle. Elle avait dû pousser ses radiateurs à fond. Je lui ai fait remarquer en retirant mon pull. Elle ma souri en disant que cétait fait exprès. Et tout en me fixant dans les yeux, elle a déboutonné 2 boutons de son chemisier pour laisser entrevoir la naissance de ses seins emprisonnés dans la dentelle noire. La température venait encore de monter de plusieurs degrés. Je lui ai dit que si elle continuait, je ne répondais plus de rien. Son unique réponse fût denlever un bouton supplémentaire. « Tant pis pour toi, tu lauras voulu » ai-je dit en me levant. « Cest de ta faute » a-t-elle rétorqué en se levant à son tour.
Elle a pris ma main dans la sienne et est partie déterminée vers sa chambre. Des bougies y étaient également allumées, rendant latmosphère romantique. Face à face, jai terminé le travail en déboutonnant les boutons restants pour enlever son chemisier.
Elle ma enlevé mon tee-shirt puis elle ma poussé délicatement pour que je bascule en arrière sur le lit, les pieds encore posés au sol. Elle est venue à califourchon sur moi et nous avons échangé un long baiser alors que mes mains se promenaient sur sa peau brûlante, visitant sa nuque, son dos, ses hanches, ses fesses. Jessayais maladroitement denlever son soutien-gorge mais jai toujours été nul pour dégrafer ces foutus trucs. Elle a fini par prendre pitié de ma maladresse en lenlevant elle-même. Elle sest penchée de nouveau contre moi et cette fois-ci je sentais la pointe de ses deux tétons sexciter contre mon torse pendant quelle continuait à me dévorer la langue.
Dans cette position et en passant par ses fesses, jarrivais à atteindre du bout des doigts son sexe que je caressais à travers la dentelle avec la pulpe de lindex et du majeur. Jen ressentais lhumidité qui imprégnait le tissu et ses lèvres gonflées qui sécartaient delle-même dexcitation.
Mais à peine tentais-je de passer sous lélastique de son tanga que Marion séchappa. Telle un reptile, elle rampa le long de mon corps, non sans avoir lécher chaque cm de ma bouche à mon ventre. Elle sattaqua à ma ceinture puis à ma braguette tout en continuant à butiner mon nombril. Une fois ouvert, elle posa ses lèvres sur la bosse que formait ma queue avant de toute descendre du même geste jusquà mes genoux.
Elle se retira avant datteindre le point de non-retour, se remit debout et descendit le long de ses jambes le tanga qui la gênait. Quelle était excitante ainsi tout juste habillée de ses bas. Je me redressais pour me libérer de mon jean et de mon caleçon entortillés autour de mes mollets. Javais du mal à me concentrer alors quavec un visage mutin et toute à son plaisir, Marion mattendait debout la main droite sactivant entre ses jambes.
Elle se retourna, sapprocha du mur qui était en face de son lit, posa sa main gauche à plat dessus un peu plus haut que sa tête, sa droite toujours nichée entre ses jambes, se cambra et tourna juste son visage vers moi en me disant « viens, baise-moi ». Marion avait décidé que ce soir cétait elle qui dirigeait. Cela mallait très bien. Je me suis approché delle, jai pointé mon gland contre son sexe et jai poussé. Marion en lâcha un cri de satisfaction. Je lai baisé comme ça, debout, alors que je la tenais fermement par ses hanches. Je tapais fort et je lui demandais si elle aimait ça, si elle sentait bien ma bite ou si ça la faisait jouir. Elle me répondait par des « oui, vas-y, encore, mets-la moi bien profonde » et par « elle est bonne ta queue » ou « elle est grosse, je la sens bien ».
Jai posé mon visage sur son dos perlé de sueur salée afin de reprendre mon souffle tandis quelle avait mis son bras gauche en arrière pour poser sa main dans mes cheveux.
Cest à ce moment là que pour la première fois on sest dit « je taime ». Cest une étape importante pour un couple naissant, même si le nôtre est quand même particulier. Jai fini par me retirer à regret car du sperme coulait sur mes couilles et le long de sa cuisse droite sur son bas. Elle est partie chercher une serviette dans la salle de bain pour nous essuyer, a enlevé ses bas et on sest lové sous sa couette pour se câliner amoureusement. Jai dû mendormir en deux secondes.
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